Marcel Gibaud
Né en 1921, mort en 1970, Marcel Gibaud apparaît comme l’une des figures les plus étranges du cinéma français d’après-guerre. Malgré une œuvre abondante et d’ivresse, peu d’historiens le citent. On sait qu’il anima le ciné-club de Versailles et qu’il se passionna pour la microcinématographie à l’Institut Maritime de la Rochelle. Ses amis lui portent une admiration et un respect militants. Jacques Audiberti l’admirait. Sa vie, sa mort sont entourées de légendes : Il semble qu’il se soit laissé mourir.
Films : 1947 – Le bâton, 1948 -Transports urbains, 1949 – Stations mondaines, 1951 – L’art rhénan, La vie de Jésus, 1952 – La rue sans loi, Procès des pin-up girls, 1953 – La Seine et ses marchands, Le visage de Marie, 1954 – La belle journée, Croissance de Paris, 1955 – Ballade parisienne, Paris d’hier et d’aujourd’hui, 1956 – De la dilation d’un visage, 1957 – Le printemps de la mer, 1958 – Un autre monde, 1960 – 500 millions d’audonilles, 1961 – Le lit, 1963 – L’amour à Paris, Les imagiers de Paris, 1964 – Les théâtres de Paris, Pierres vives…