Meditations on Revolution Part I : Lonely Planet

« Fenz montre La Havane, et la ville n’a jamais paru aussi proche. (…) Le cinéaste se concentre sur les comportements rituels dans la sphère publique – pas de défilés ici, pas de discours ou de polémiques (le film est particulièrement silencieux). Quarante ans après que le Che ait transformé l’impossible en inévitable, Fenz va chercher les traces de la révolution dans les visages de ceux qui viennent entourer sa caméra, qui jouent avec lui, et avec nous, et insistent sur le fait que la vie est d’abord vécue, puis comprise a posteriori. » Mike Holboom