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An shab ke barun amad

Kamran Shirdel
1967 Iran 35 minutes Persian

An item appeared in the Iranian press about a village boy who warned a train that the track was badly damaged by setting fire to his coat. A film crew was sent to make an epic film based on this incident. But, whilst the railway authorities completely denied the boy’s existence, the Governor-General recognised him as a hero. Dozens of heroes then came forward, each claiming to have saved the day.

Kamran Shirdel

Né en 1939 à Téhéran., il obtient son diplôme du Centre d’études cinématographiques de Rome avec son film Les Miroirs, 1964.

Dès son retour en Iran, il réalise des films pour le ministère de la Culture et des Arts. A partir de La Région de Simin (1965), il sera le seul cinéaste iranien à concrétiser son intérêt pour le documentaire social, ceci jusqu’à la révolution de 1978. En raison de la censure, seuls quatre sont encore visibles aujourd’hui : Prison de femmes, 1966, Qaleh, 1967-1979, Téhéran, capitale de l’Iran, 1967-1979, La Nuit où il a plu, 1967. Ces films sont considérés comme des références pour le documentaire social iranien.

K. Shirdel dirige un festival de documentaires sur l’île de Kesh en Iran.

Production :
Bureau national du film iranien
Photography :
Nagi Masumi

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