But, the Day Came

« On fait pour le mieux », soupire Arlene Higgins, 85 ans, veuve d’un fermier du Nebraska, qui a du mal à cacher son chagrin à l’idée de placer son frère, Clarence Keyser, 92 ans, dans un foyer pour personnes âgées. Les membres de la famille se refusaient à ce choix, mais elle sait bien qu’ils ne peuvent plus s’occuper de lui, au détriment de leur santé et de celle de Clarence. Le film évoque le quotidien du vieux monsieur encore actif et volontaire, et aborde peu à  peu ce que représente pour lui la perte de sa maison, point de repère où s’ancrait son passé, et, pour reprendre les mots d’Arlene, « sa raison de vivre ».