Matinale : Le drone est ce que l’on en fait
Jeudi 19 mars, 10h30 – 13h, Centre Wallonie-Bruxelles
Le drone est ce que l’on en fait
L’utilisation du drone comme outil de prise de vue est devenu chose courante tant dans la fiction que dans le documentaire. Cette utilisation parfois féconde parfois futile nous pousse à proposer un questionnement sur les techniques de tournage où l’œil du cadreur est déconnecté de l’objectif de la caméra, et, en quelque sorte, la caméra échappe au point de vue humain. En conversation avec Ada Ackerman et Antonio Somaïni, Vincent Sorrel interrogera l’évolution de l’utilisation de ces dispositifs à partir du projet esthétique de Jacques Perconte et de sa réflexion sur l’utilisation du drone pour un projet en cours. Les films de Jacques Perconte sont des rencontres uniques avec la nature et l’image numérique. Les échanges avec l’artiste, dont le travail se déploie au croisement des arts, s’appuieront sur la présentation d’une œuvre générative ou « film infini ». Le tempestaire, produit pour l’exposition Time machine, et la projection de son film Or/Aour, Vienna, réalisé en 2019.
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Modérée par : Vincent Sorrel (enseignant et chercheur à l’Université Grenoble-Alpes) Intervenants : Ada Ackerman (chargée de recherche au CNRS et commissaire de l’exposition Vu d’en haut), Jacques Perconte (artiste vidéaste), Antonio Somaïni (professeur en études cinématographiques, études visuelles et théorie des médias commissaire de l’exposition Time Machine)