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Whiteye

Stan Brakhage
1957 États-Unis 5 minutes sans paroles

Un volet d’un dyptique qui oppose les deux points de vue de la caméra : dans Daybreak, la caméra objective suit une femme qui dort, se réveille, se lève, se brosse les cheveux, se maquille et sort, marche anxieusement dans la rue jusqu’au parapet d’un pont, où elle échange avec un homme un regard bref et indécis avant de regarder comme lui vers la rivière. Whiteye met en œuvre la caméra subjective pour assembler les images perçues tandis qu’un homme tente d’écrire une lettre d’amour. Ces deux films sont, d’après Brakhage, des films d’investigation sur les « frustations de l’amour ».

Production :
indéterminé
Distribution :
Museum of Modern Art / Moma

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