Adieu la rue des Radiateurs (Nina)
Here cinema is gauged against literature as to the capacity of each to express loss and disappearance. On one hand, Mathieu Riboulet reads excerpts from his book Le regard de la source, on the disappearance of a Russian friend, Nina. On the other, Vladimir Léon uses extracts of Super 8 film to sketch out the portrait of Nina Kotchekova, Léon’s friend, filmed in Moscow and Paris in the ’90s and whose destiny is in many ways akin to Riboulet’s heroine. While Léon’s raw and faded images lend body and depth to Riboulet’s text, decanting its excessive formalism, Riboulet’s text, filmed in a bright immaculate setting, expands what is present in Léon’s images, but which is withheld, compressed and fleeting: complicity and fear, distancing and death. (Yann Lardeau)
Vladimir Léon est né en 1969 à Moscou. Dans le cadre de ses études de cinéma, il réalise ses premiers films en vidéo et super 8, où il s’interroge déjà sur la mise en forme documentaire (Portrait au judas, 1989). Après un long métrage de fiction, Loin du front (1998) coréalisé avec Harold Manning, il revient au documentaire avec Nissim dit Max (2003) et Le Brahmane du Komintern (2006).
Il a conçu Adieu la rue des Radiateurs (Nina) en parallèle avec un autre volet (en cours de production) Mes chers espions (Lily et Constantin).
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Vladimir Léon est né en 1969 à Moscou. Dans le cadre de ses études de cinéma, il réalise ses premiers films en vidéo et super 8, où il s’interroge déjà sur la mise en forme documentaire (Portrait au judas, 1989). Après un long métrage de fiction, Loin de front (1998) coréalisé avec Harold Manning, il revient au documentaire avec Nissim dit Max (2003) et le Brahmane du Komintern (2006).
Adieu la rue des Radiateurs (Nina) est son dernier film qu’il a conçu en parallèle avec un autre volet (en cours de production) Mes chers espions (Lily et Constantin).
Vladimir Léon
Vladimir Léon
Lionel Quantin
Arnold Pasquier
Vladimir Léon
