The Good Wife of Tokyo

Kazuko Hohki retourne au Japon avec son groupe de rock après une absence de quinze ans. Afin de faire plaisir à  sa mère, elle décide de se marier selon la pratique du Foyer du développement, religion suivie par un certain nombre de Japonaises, et dont celle-ci est prêtresse. Car tandis que le père vaque ailleurs à  ses loisirs, danse traditionnelle ou calligraphie, la maison appartient aux femmes que le Foyer du développement encourage à  prendre confiance en elles et à  cultiver leur individualité, par des pratiques comme l’exercice du rire. Le film fait pénétrer dans l’intimité des femmes japonaises, amies, belle-sœur et adeptes, qui s’expriment sans détours sur la place que la société japonaise leur réserve.