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Das bleibt, das kommt nie wieder

Herbert Schwarze
1992 Allemagne 81 minutes Allemand

Qu’est-ce que le souvenir, comment se constitue la mémoire ? Le cinéaste dialogue avec sa mère, qui a vécu sa jeunesse sous le nazisme, et explore les personnages et icônes qui composaient le système de représentation de la dictature : « documentaires », actualités, fictions de propagande (en particulier ceux de Veit Harlan), figures féminines incarnées par l’actrice Kristina Söderbaum. Aux récits d’une « créature » de cinéma qui dit l’inconscience et le regret répondent ceux d’une femme piégée dans des images mortifères.

Herbert Schwarze

Né en 1959, il a fait ses études de cinéma à la Dffb. Cinéaste, scénariste et programmateur, vit et travaille à Berlin (et ailleurs).

Collaborateur du Festival du Court-métrage d’Oberhausen, il a présenté deux installations en France.

Filmographie :

Gretchen, 2000 – Hunger nach mehr, 2000 (avec Jutta Doberstein) – Karaoke – Ein Heimatabend in der Fremde (installation), 2000 – Und immer wieder geht die Sonne auf, 2005 (doc) – Als unsere Lieder noch wild und gefährlich waren, 2005 (cm)

Production :
dffb Deutsche Film- und Fernsehakademie Berlin
Montage :
Boris Wieland; Herbert Schwarze
Son :
Maureen Herzfeld-Bargas
Photo :
Christian Frosch

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