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Das Kino und der Tod

Hartmut Bitomsky
1988 Allemagne 56 minutes Allemand

Bitomsky parcourt les tirages de photogrammes qu’il a choisis et mène l’enquête comme le détective d’un film noir, tandis que dans l’esprit du spectateur, les films vus et parfois oubliés, reviennent en mémoire et se revoient autrement, dégagés de l’exercice parfois illusoire de l’extrait. Le Rideau déchiré ou Psycho de Hitchcock, Une chambre en ville de Jacques Demy, Kiss me deadly de Aldrich… ou des séries B moins célèbres où quelqu’un doit, va mourir, à  chaque fois. « Pourquoi le cinéma a-t-il besoin de la mort, alors qu’il ne peut la montrer ? Le cinéma semble indissociable de la mort, du mourir, du n’être plus. La mort, pourrait-on dire, est un axiome du cinéma. Bazin appelait cela « le linceul de la réalité » (H.B.)

Production :
Big Sky Film; WDR
Montage :
Gisela Müller; Cornelia Schleheck
Son :
Gerhard Metz
Photo :
Carlos Bustamante

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