Sur les bords de la caméra

« … Dans Sur les bords de la caméra, il se tisse entre les plans une relation secrète et sournoise, où transparaissent quelques traits indélébiles de l’époque, celle-ci plus elle-même d’être auto-caricaturée et stylisée… Tout se passe comme si Henri Storck, dès ce temps, prévoyait la guerre. Sans nul doute, en même temps que le film il nous parle de son réalisateur, peut-être un peu plus qu’il ne l’a su… » Jean Quéval « … Ce film a la fraîcheur magique de la jeunesse du Cinéma même… » Roger Boussinot