Beyrouth fantôme

Le Liban, à la fin des années 80. Khalil ressurgit, après dix ans d’absence, dans la vie de ceux qui l’ont connu.

« Confrontés au retour d’un ami – qui avait disparu au cours des combats et passait pour mort, tel un héros – les protagonistes du film nous racontent les bouleversements de leur propre vie, ce que la guerre leur a volé et ce qu’elle leur a apporté, et comment ils continuent à vivre. Ils sont des fantômes en errance que la vie rattrape… Par-delà Beyrouth, territoire sinistré, le film nous emmène dans le paysage mental de l’homme, avec ses zones en reconstruction. » (Caroline Chomienne)